
La différence se cache dans l'oeil de celui qui regarde !
La différence se cache dans l'oeil de celui qui regarde !
Ce n’est pas ce que tu es qui dérange
C’est ce que les autres n’ont pas appris à aimer
Pendant longtemps, j’ai cru que le problème, c’était... MOI.
Je pensais :"Si j’étais comme les autres, je serais mieux aimée, mieux regardée, mieux perçue.
Puis un jour, j’ai compris :
Le problème, ce n’était pas moi. C’était le regard!
1/ Le regard d’une société un peu trop rassurée par les cases bien lisses et les modèles préremplis (vous avez dit "norme" ?)
2/ Mais aussi mon propre regard sur moi
Un regard appris à l’école, face à des diagnostics qui condamnent, des silences polis, des fuites gênées…
Et comme je n’avais pas de baguette magique pour changer les autres (j’ai cherché, crois-moi), alors j’ai décidé de changer… non pas qui j’étais, mais comment je me regardais
Et ça, ça a tout changé.
Parce que la différence, ce n’est pas une anomalie. C’est une interprétation, un filtre, une histoire qu’on se raconte.
Mais la bonne nouvelle ? Tu peux changer le script, le mettre à ta sauce.
🎁 3 idées qui claquent
1 - Ce n'est pas ton handicap qui te limite.
C’est le regard fatigué que tu poses dessus.
2 - Ta différence est une lumière.
Encore faut-il que tu oses allumer l’interrupteur.
3 - Le vrai courage, ce n’est pas de devenir comme les autres.
C’est de devenir pleinement toi. Et de kiffer ça!
2 inspirations qui libèrent
🎁 2 inspirations
Citation – Charles Gardou, papa d’une Marie ayant un handicap
« La musique de la diversité est étouffée par le tintamarre des normes, qui s’accompagne d’une conception dégradée de ceux dont les rapports au corps, au temps, à l’espace, au monde et aux autres apparaissent trop éloignés des configurations et expériences “valides”, prétendument universelles. […] On n’a jamais fini de comprendre que la normalité est une étrangeté dans l’humanité. »
Source : entretien ALGED- Septembre 2023
Rôle modèle – Stella Young, comédienne, journaliste et militante australienne des droits des personnes handicapées.Elleavait la maladie des os de verre
« Je ne suis pas un flocon de neige. Je ne suis pas un symbole sucré, infantilisant de fragilité et de vie. Je suis une femme adulte, forte, farouche, imparfaite. Et j’ai bien l’intention de le rester, dans la vie comme dans la mort.
Source : Victorian Honour Roll of Women- 2014
